Charges sociales en EURL : tout comprendre pour piloter votre rémunération
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Vous créez ou gérez une EURL (Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée) et vous vous sentez perdu face aux charges sociales ?
Le problème est clair, vos charges varient selon votre statut de gérant (travailleur non salarié ou assimilé-salarié) et selon votre régime fiscal (impôt sur le revenu ou impôt sur les sociétés). Sans repères, vous subissez vos cotisations au lieu de les piloter.
Comprendre ces règles vous permet d’éviter les mauvaises surprises :
- vous pouvez estimer vos charges ;
- anticiper leur impact sur la trésorerie ;
- et arbitrer entre rémunération et dividendes.
Dans cet article, je vous guide pas à pas afin de comprendre la gestion sociale de votre EURL.


En EURL, vos charges sociales dépendent de deux critères essentiels : votre statut de gérant et votre régime fiscal. Retenez :
- Travailleur non salarié (TNS) : charges = 35 à 45 % de vos revenus ;
- Assimilé-salarié : charges = 45 à 55 % de votre rémunération brute ;
- À l’IR : toutes vos cotisations portent sur le bénéfice. La formule est la suivante : Charges sociales = Bén éfice × Taux moyen de cotisations sociales ;
- À l’IS : vos rémunérations sont soumises aux cotisations, les dividendes supportent les prélèvements sociaux, et ne deviennent soumis aux cotisations sociales qu’au-delà de 10 % du capital + comptes courants + primes d’émission.
- Pour optimiser vos charges sociales, appuyez-vous sur trois leviers essentiels : choisir le régime fiscal le plus adapté, ajuster l’équilibre entre rémunération et dividendes, et anticiper vos cotisations grâce à un bon prévisionnel pour sécuriser à la fois votre revenu net et la trésorerie de votre EURL.
EURL et charges sociales
Vous vous demandez pourquoi les charges sociales occupent une place si importante dans la vie de votre EURL ? Je vais d’abord vous rappeler ce qu’est une EURL et votre rôle en tant que gérant, puis détailler les charges qui vous concernent avant de vous montrer pourquoi elles sont centrales dans vos choix financiers.
Définition de l’EURL et du rôle du gérant
L’EURL est une société constituée d’un seul associé. Vous créez seul votre structure, tout en protégeant votre patrimoine personnel grâce à la responsabilité limitée au montant du capital social.
En tant que gérant associé unique, vous assurez la direction de l’entreprise. Il est possible de nommer un gérant non associé, mais dans la majorité des cas, c’est vous qui occupez cette fonction.
Votre rôle consiste à
- piloter l’activité ;
- contrôler les charges d’exploitation ;
- prendre les décisions fiscales ;
- et veiller à la bonne santé de votre société.
Les charges sociales d'une EURL
Les charges sociales de votre EURL regroupent plusieurs contributions obligatoires. Elles servent à financer votre protection sociale et participent au fonctionnement des différentes branches du système.
Les principales cotisations que vous devez prévoir sont les suivantes :
- assurance maladie-maternité : vous assure une couverture santé de base avec remboursement partiel de vos soins ;
- allocations familiales : participent au financement des prestations destinées aux familles ;
- retraite de base et complémentaire : ouvrent vos droits à pension, calculés en fonction de vos revenus déclarés ;
- invalidité-décès et prévoyance : garantissent une protection en cas d’arrêt de travail ou de problème grave de santé ;
- CSG-CRDS (Contribution sociale généralisée et Contribution au remboursement de la dette sociale) : prélevées directement sur l’ensemble de vos revenus.
Pourquoi les charges sociales sont-elles centrales en EURL ?
Les charges sociales occupent une place majeure dans la vie de votre EURL. Leur poids est important et leurs effets se ressentent à plusieurs niveaux :
- votre trésorerie : vous devez prévoir des appels provisionnels auprès de l’URSSAF dès la première année d’activité ;
- votre revenu net : le taux global de cotisation représente en moyenne 35 à 45 % de votre rémunération ;
- votre fiscalité : la base de calcul diffère selon que votre EURL relève de l’impôt sur le revenu (IR) ou de l’impôt sur les sociétés (IS) ;
- vos choix stratégiques : vous devez arbitrer entre rémunération, dividendes soumis aux cotisations sociales ou réinvestissement du résultat fiscal.
En résumé, pour comprendre les charges sociales de votre EURL, retenez trois points essentiels :
- L’EURL est une société à associé unique où le gérant pilote l’activité et prend les décisions financières.
- Les charges sociales regroupent maladie, retraite, allocations familiales, prévoyance et CSG-CRDS, complétées par des taxes comme la CFE, la CVAE ou la TVA.
- Ces cotisations influencent directement votre trésorerie, votre revenu net, votre fiscalité et vos décisions stratégiques.
Le régime social du gérant
Vous avez compris que vos charges sociales sont centrales dans la vie de votre EURL. Mais leur montant exact dépend avant tout de votre statut de gérant. Je vais vous expliquer la différence entre le régime travailleur non salarié (TNS) et le régime assimilé-salarié, puis vous donner un comparatif clair pour savoir où vous vous situez.
Gérant associé unique : régime TNS
En tant que gérant associé unique de votre EURL, vous relevez du régime des travailleurs non-salariés (TNS). Vous êtes affilié à la SSI (Sécurité sociale des indépendants, anciennement RSI).
Il est bien de comprendre que même en l’absence de chiffre d’affaires (CA) et surtout de rémunération versée, vous devez régler des cotisations sociales minimales afin de rester affilié et de maintenir vos droits en matière de santé et de retraite.


Gérant non associé ou minoritaire : régime assimilé salarié
Si vous êtes gérant non associé (nommé par l’associé unique) ou gérant minoritaire (vous détenez moins de 50 % des parts), vous relevez du régime assimilé-salarié.
Concrètement :
- vos cotisations sociales sont collectées par l’URSSAF ;
- vous bénéficiez d’une protection sociale complète, proche de celle d’un salarié (santé, retraite, prévoyance)
- la société établit un bulletin de paie, sur lequel sont calculées vos cotisations sociales ;
- en revanche, vous ne cotisez pas au chômage, même si vos cotisations restent importantes.
Tableau comparatif TNS ou assimilé salarié
Ce comparatif vous aide à identifier le poids réel des cotisations et la protection associée selon votre statut de gérant.
Charges sociales selon l’option fiscale
Vous savez maintenant que vos charges sociales varient selon votre statut de gérant. Mais elles dépendent tout autant du régime fiscal choisi pour votre EURL. Je vais vous montrer la différence entre l’impôt sur le revenu (IR) et l’impôt sur les sociétés (IS), la base de calcul n’est pas la même, et cela change le montant final de vos cotisations.
Cas d’une EURL à l’impôt sur le revenu
Si vous optez pour l’IR, vos bénéfices sont directement la base de calcul de vos charges sociales.
Concrètement :
- vos cotisations sociales TNS sont calculées sur le résultat fiscal de l’entreprise ;
- ce résultat prend en compte vos charges d’exploitation et vos frais professionnels réels ;
- vous payez vos cotisations quelle que soit votre rémunération réelle, même si vous ne retirez pas tout le bénéfice vers votre trésorerie personnelle.
Autrement dit, à l’IR, tout bénéfice généré par l’EURL déclenche des cotisations, qu’il soit distribué ou non.
Cas d’une EURL à l’impôt sur les sociétés
Si vous choisissez l’IS, la logique change.
Concrètement :
- vos cotisations sociales s’appliquent uniquement sur la rémunération du gérant ;
- vos dividendes sont exclus des cotisations sociales TNS (ils ne supportent que les prélèvements sociaux de 17,2 %), sauf s’ils dépassent 10 % du capital social, du compte courant d’associé et des primes d’émission ;
- votre rémunération ainsi que les cotisations sociales sont déductibles de l’IS ;
- vous arbitrez ensuite librement entre salaire et dividendes, même si leur coût global reste souvent comparable pour la société.
À l’IS, vous pilotez plus facilement vos revenus et vos cotisations.
Comparatif chiffré : IR vs IS
Prenons un exemple concret pour comprendre la différence entre les deux régimes fiscaux.
Hypothèse commune :
Résultat fiscal de l’EURL = 40 000 €
(le résultat fiscal correspond au bénéfice réalisé par l’entreprise avant impôt)
Cas 1 : EURL à l’IR
À l’IR, les cotisations sociales sont calculées sur tout le b énéfice de l’entreprise, même si vous ne le retirez pas de la trésorerie.
Formule :
Charges sociales = Bénéfice × Taux moyen de cotisations sociales
Application :
- Bénéfice : 30 000 €
- Taux moyen : 38 % (moyenne constatée pour un gérant TNS avec ce niveau de revenu)
- Revenu net = 30 000 / 1,38 = 21 739 €
- Cotisations sociales = 21 739 × 38 % = 8 261 €
Vérification : 21 739 € (revenu net) + 8 261 € (cotisations) = 30 000 € (bénéfice)
Ici, vous payez vos cotisations sur la totalité du bénéfice, que vous le preniez ou non. C’est le principal inconvénient du régime à l’IR.
Cas 2 : EURL à l’IS
Sous l’IS, la logique change :
- Vous vous versez une rémunération (un “salaire” de gérant).
- Cette rémunération est soumise à des cotisations sociales, calculées autour de 42 %. Cela veut dire que si vous vous versez 1 000 €, vous payez environ 420 € de cotisations à l’URSSAF.
- Le reste du bénéfice, une fois votre rémunération déduite, est soumis à l’impôt sur les sociétés (IS), dont le taux réduit est de 15 % jusqu’à 42 500 €.
- Le résultat distribuable correspond à ce qu’il reste après l’IS, et il peut être versé en dividendes.
- Ces dividendes supportent les prélèvements sociaux (17,2 %) et, s’ils dépassent 10 % du capital social, du compte courant d’associé et des primes d’émission, ils deviennent soumis aux cotisations sociales.

Formule complète :
Revenu net disponible = (Rémunération – Cotisations sociales) + [(Bénéfice – Rémunération – Cotisations sociales – IS) – Prélèvements sociaux sur dividendes]
Application :
- Rémunération du gérant : 24 000 €
→ Cotisations sociales (42 %) = 10 080 € - Bénéfice restant dans la société :
40 000 – 24 000 - 10 080 = 5 920 € - Impôt sur les sociétés (IS à 15 %) :
5 920 × 15 % = 888 € - Résultat distribuable :
5 920 – 888 = 5 032 €
(c’est ce qu’il reste après l’IS, que l’entreprise peut verser en dividendes) - Prélèvements sociaux sur dividendes :
5 032 × 17,2 % = 866 €*
→ Dividendes nets = 5 032– 866 = 4 166 €
*uniquement les prélèvements sociaux si le montant du dividende ne dépasse pas 10% du capital social, du compte courant d'associé et des primes d’émission.
Revenu total net disponible : rémunération nette (24 000 €) + Dividendes nets (4 166€) = 28 166 €
La différence est claire, à l’IR, tout le bénéfice est taxé en charges sociales. À l’IS, vous pouvez moduler entre salaire et dividendes, ce qui vous offre plus de souplesse pour optimiser vos revenus.
En résumé, retenez trois points essentiels :
- à l’IR, toutes les cotisations sont calculées sur le bénéfice fiscal, même s’il n’est pas entièrement retiré ;
- à l’IS, les rémunérations du gérant et une partie des dividendes sont soumis aux cotisations sociales ;
- le choix entre IR et IS influe directement sur votre revenu net et l’IS offre plus de marge de manœuvre pour optimiser vos revenus.
Comment estimer vos charges sociales en EURL ?
Vous savez désormais que vos cotisations dépendent de votre statut et du régime fiscal choisi. Mais, pour avancer, vous avez besoin de chiffres concrets. Je vais vous détailler les taux applicables aux principales cotisations, puis vous montrer comment se détermine la base de calcul selon vos revenus ou bénéfices. Vous aurez ainsi une vision claire du poids réel de vos charges sociales.
Les principaux taux applicables pour les TNS
Pour estimer vos cotisations sociales, vous devez connaître les principaux postes prélevés par l’URSSAF et la SSI.
Voici les contributions majeures pour les TNS :
- assurance maladie-maternité : taux progressif de 0,5 % à 7,2 % selon le revenu (hors indemnités journalières) ;
- allocations familiales : taux modulé de 0 % à 3,10 % en fonction du revenu ;
- retraite de base : 17,75 % jusqu’au plafond annuel de la Sécurité sociale (PASS), puis 0,60 % au-delà ;
- retraite complémentaire : environ 7 à 8 % selon la tranche de revenu ;
- invalidité-décès : 1,30 % dans la limite du PASS ;
- CSG-CRDS (Contribution sociale généralisée et Contribution au remboursement de la dette sociale) : 9,70 % sur le revenu professionnel.
Pour les assimilés salariés
Si vous relevez du régime assimilé-salarié, vos cotisations sociales comprennent :
- Assurance maladie-maternité : ~13 % ;
- Retraite de base (CNAV) : ~17,75 % (part patronale + part salariale, selon tranches) ;
- Retraite complémentaire Agirc-Arrco : ~7 à 20 % (selon la tranche 1 ou tranche 2, part patronale + salariale) ;
- Allocations familiales : ~3,45 % ;
- CSG-CRDS : 9,70 % (appliquée sur 98,25 % du salaire brut) ;
- Prévoyance obligatoire : ~1,50 % (variable selon les caisses et contrats).
Taux global moyen : 45–55 % du salaire brut, ce qui équivaut à ≈ 70–80 % du salaire net.
Au total, le poids des cotisations varie selon votre statut :
- TNS : comptez environ 35 % à 45 % de vos revenus ;
Assimilé-salarié (cas du gérant non associé ou minoritaire) : les charges sont beaucoup plus élevées, autour de 75 % à 80 % du salaire net.
Quelles stratégies pour optimiser vos charges sociales ?
Vous savez maintenant calculer le poids de vos cotisations. Mais la vraie question reste : comment les réduire sans mettre en danger votre protection sociale ? Je vais vous montrer les trois leviers principaux : le choix du régime fiscal, l’arbitrage entre rémunération et dividendes, et la mise en place d’un prévisionnel de charges pour garder la main sur votre trésorerie.
Choix du régime fiscal : un levier puissant
Le régime fiscal choisi pour votre EURL détermine directement le montant de vos cotisations sociales.
- À l’IR, l’ensemble du résultat fiscal est soumis aux charges sociales.
- À l’IS, vos rémunérations de gérant entrent dans la base de calcul, et une partie de vos dividendes également lorsqu’ils dépassent 10 % du capital social, du compte courant d’associé et des primes d’émission.
Passer de l’IR à l’IS peut réduire sensiblement vos cotisations, en particulier si vos bénéfices sont élevés. C’est également un choix pertinent si votre conjoint(e) dispose de revenus très élevés. Ce choix vous offre également plus de souplesse pour ajuster l’équilibre entre rémunération et dividendes.
Anticiper avec un prévisionnel de charges
Vos cotisations sociales ne sont pas figées : elles évoluent en fonction de vos résultats et font l’objet de régularisations par l’URSSAF. Sans anticipation, ces ajustements peuvent créer de mauvaises surprises pour votre trésorerie.
Pour sécuriser votre activité, vous avez tout intérêt à :
- établir un prévisionnel de charges sociales chaque année ;
- tester plusieurs hypothèses de revenus avec un outil de simulation ;
- travailler avec un expert-comptable qui suit vos appels provisionnels et ajuste vos versements.
En résumé, deux leviers permettent d’optimiser vos charges sociales en EURL :
- le choix du régime fiscal : passer de l’IR à l’IS peut réduire vos cotisations et vous donner plus de flexibilité dans l’organisation de vos revenus ;
- la mise en place d’un prévisionnel annuel : anticiper vos cotisations et vos régularisations URSSAF vous permet de garder la main sur votre trésorerie.
Les charges sociales en EURL structurent la vie de votre société. Elles dépendent de votre statut de gérant, de l’option fiscale retenue et de la base de calcul choisie. Comprendre ces mécanismes, c’est savoir d’où viennent vos cotisations et pourquoi elles pèsent autant sur votre revenu net.
Votre rôle est clair :
- anticiper vos charges ;
- ajuster vos choix entre rémunération et dividendes ;
- et intégrer ce coût dans la gestion de votre trésorerie.
En gardant la main, vous transformez une contrainte en outil de pilotage et évitez les régularisations imprévues.
Avec Dougs, vous n’êtes pas seul face à ces calculs. Nous vous guidons dans vos décisions, sécurisons vos démarches et optimisons votre fiscalité. Vous gagnez en visibilité et en confiance pour faire grandir votre activité.
FAQ sur les charges sociales EURL
Comment calculer les charges sociales d'une EURL ?
Le calcul dépend du régime fiscal de votre EURL :
À l’IR : vos charges sociales sont calculées sur le bénéfice imposable (BIC ou BNC).
Formule : Charges sociales = Bénéfice × Taux moyen de cotisations sociales
À l’IS : vos rémunérations de gérant sont soumises aux cotisations sociales, et une partie des dividendes l’est également lorsqu’ils dépassent 10 % du capital social, du compte courant d’associé et des primes d’émission ; en dessous de ce seuil, les dividendes relèvent surtout des prélèvements sociaux.
Formule : Revenu net disponible = (Rémunération – Cotisations sociales) + [(Bénéfice – Rémunération – IS) – Prélèvements sociaux sur dividendes] si les dividendes ne dépassent pas le seul de 10% de capital social, du comptes courants d'associés et primes d'émission.
Quelles protections sociales couvrent un gérant d’EURL ?
Votre protection dépend de votre statut :
En tant que TNS, vous relevez de la SSI (ex-RSI). Vous êtes couvert pour la maladie, la maternité, la retraite (base et complémentaire), l’invalidité-décès et la prévoyance.
Note de DOUGS : attention à bien respecter les minimums de rémunérations pour bien cotiser tous les trimestres de retraite et bénéficier des Indemnités Journalières !
En tant que salarié assimilé, vous cotisez via l’URSSAF et bénéficiez d’une couverture proche de celle d’un salarié, sauf pour l’assurance chômage.
Quelle différence entre une EURL, une SASU et un auto-entrepreneur ?
Le choix de votre statut juridique impacte vos cotisations sociales, vos dividendes et votre fiscalité.
En EURL, vous êtes gérant TNS : cotisations plus faibles (≈ 35-45 %), avec choix entre IR et IS pour arbitrer salaire/dividendes.
En SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle), vous êtes président assimilé-salarié : cotisations plus lourdes (≈ 45-55 % du salaire brut, environ 80% du net), meilleure couverture sociale mais pas de chômage.
En auto-entrepreneur, vous relevez du micro-social : cotisations réduites (≈ 12-22 %), régime simplifié, mais pas de déduction de vos charges.
L’EURL vous offre un équilibre, la SASU plus de protection, et l’auto-entrepreneur une solution simple pour débuter.

Quand elle n’arpente pas les routes de l’Oise sur son VTT, Audrey offre son expertise de juriste en droit social chez Dougs. Sur son deux roues comme en ressources humaines, sa curiosité et sa persévérance n’ont pas de limite pour atteindre son objectif !
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